balades astro-mythologiques

Je vous accompagne à la découverte du ciel nocturne, de ses mythes et légende. Trente ans de randonnées célestes en France et dans le monde que j'aurai grand plaisir à partager avec vous. Balade guidée parmi les constellations et planètes présentes et leurs différentes mythologies.

Heureux de vous retrouver pour les rendez-vous

de l'ETE 2024 !


Je vous accompagne à la découverte du ciel nocturne, de ses mythes et légende, avec l'aide d'un pointeur laser.

Trente ans de randonnées célestes en France et dans le monde que j'aurai grand plaisir à partager avec vous.

1h30 d’animation avec, en attendant la nuit : la mécanique céleste, apprendre à localiser les constellations et les principales étoiles. Ensuite, la nuit venue, balade guidée parmi les constellations et planètes présentes et leurs différentes mythologies.

 

En pratique :

Tarif par personne : (Règlement possible en espèce, chèque). NB : Pas par carte bancaire

Adulte : 12 € - Enfants accompagnés (de 6 à 13 ans) : 8 € - Pass famille (2 adultes et 2 enfants) : 35 € - enfant supplémentaire : 8 €

Groupe d'amis : (5 personnes et plus) : 9 €/pers

Tarifs préférentiel avec la Carte multi-activité Serre Chevalier Briançon Vallée.

 

Réservation :

Réservations téléphoniques (places limitées) en précisant la date, votre nom et le nombre de personne.

NB : Odyssée Stellaire se réserve le droit d’annuler l’animation si les conditions d’observation ne sont pas réunies.

Si vous avez un doute, merci d’appeler le jour même le 06 75 04 38 63 entre 19 h et 19h30.

 

Nous serons statiques : Prévoir vêtements chauds ( nous serons à 2 400 m d'altitude) et lampe de poche.

Pour plus de confort, vous pouvez prévoir de quoi vous installer : matelas de bivouacs, tabouret de camping, chaises pliantes etc ..

Pour être audible par tous, je serai équipé d’un amplificateur de voix.

Dates et lieux

Dates à venir

 

Juin

 

 

Juillet

 

 

Août

 

 

 

21h30 à 23h

 

 

 

 

 

 21h à 22h30

 

 

Parking du col du Granon (2415 m) sur la commune de Saint Chaffrey (Serre Chevalier).

Coordonnées GPS : 44° 57' 46'' nord/ 6° 36' 40' est

RDV sur place un quart d'heure avant le début de l'animation.


2020 l'année COVID

Agenda de Avril/Mai 2020                                                                          Escapade amoureuse avec Vénus

Comment faire une super balade de plusieurs millions de km

en moins d’une heure et en restant confiné ?

         Jusqu’à fin mai c’est possible. Courant avril, Vénus est visible durant plus de trois heures et demi après le coucher du soleil et à la fin de ce mois, elle brille de mille feux et atteint son éclat maximal (magnitude - 4,7). Puis son écart avec le soleil diminue rapidement et les derniers jours de mai la voient se perdre très rapidement dans les lueurs du couchant.

        La période suivante pour l’observer débute dès juillet dans le ciel du matin et dure jusqu’à fin décembre. Elle se situe haut dans le ciel avant le lever du soleil de début août à mi-novembre.

NB : Pour les non familiers de l’échelle des magnitudes, qui caractérise l’éclat des astres, les nombres petits ou négatifs indiquent un fort éclat. A titre d’exemple, Sirius, l’étoile la plus brillante du ciel, a une magnitude de -1,5, la pleine lune - 12,6 et le soleil - 26,7.


Caractéristiques :

          Comme toutes les planètes, la planète Vénus est éclairée par le soleil dont elle est assez proche (108 millions de km). Sa distance avec la Terre varie de 42,50 à 256 millions de km. Elle possède une atmosphère très dense et opaque, formée à 96 % de gaz carbonique, et de ce fait, elle nous renvoie une bonne partie de sa lumière. Sa pression atmosphérique est 90 fois plus élevée que sur Terre.

          Souvent comparée à la Terre, Vénus est une planète rocheuse (on dit aussi tellurique). Ses paysages comportent des plaines, des montagnes, des volcans… Elle a aussi presque la même taille que notre planète : son diamètre est de 12 104 kilomètres, soit 0,95 fois celui de la terre. Sa température en surface est de 467°C en moyenne.            

         Contrairement à la Terre, elle n’a pas de satellite naturel mais présente, comme la Lune, des phases, observables avec un instrument astronomique (découvertes par Galilée en 1610).


Symbolisme :

          En astrologie (puis en astronomie), la planète Vénus a pour symbole un cercle avec une croix pointant vers le bas. Certains l'ont interprété comme étant le miroir à main de la déesse Vénus. Par extension, dans la culture populaire, il désignera le sexe féminin par opposition avec le symbole de Mars (♂) désignant le sexe masculin. Dans ce dernier cas, le symbole sera réinterprété : le cercle représentant l'utérus, et la petite croix vers le bas étant le symbole de l'accouchement ou l'origine de la vie.


Mythologie :

          Un astre aussi brillant dans le ciel ne pouvait laisser indifférent les peuples des anciennes civilisations.

          Toutes avaient remarqué un astre qui brillait d’un vif éclat à l’ouest au début de nombreuses nuits et un autre, non moins lumineux, visible souvent à l’est avant l’aurore. Il s’agissait en réalité de la planète Vénus qui tantôt suit le soleil, tantôt le précède, mais ne s’en éloigne jamais plus de 48°. Quand on l’observe le soir, on ne peut pas la voir le matin suivant et réciproquement.

          La découverte de l’unicité de cet astre est attribuée à Pythagore (environ - 560 à - 490 av notre ère). Les Babyloniens la connaissaient déjà, depuis - 685 av notre ère et avait associé, en une triade australe, Vénus au Soleil et à la Lune.


       Mais dans le langage courant des peuples la distinction entre les deux formes d’apparition de Vénus subsista longtemps. De la tradition populaire elle était passée dans la littérature gréco-latine.

         L’étoile du matin était appelée Eoüs, l’astre de l’aurore », Phosphorus ou Lucifer, le « porte lumière » ; lubar, « l’incitateur, l’impulseur ».

          L’étoile du soir était Hesperus, Vesper ou Vespero.

Dans la religion védique (ancienne religion indoue), Ushas, est la déesse de l'aurore se hâtant vers le dieu-soleil Sūrya, son amant : le début de la journée marque leur union.

             Eoüs                                Hesperus                                                        Ushas                                                      Sürya


Mythologie Greco-romaine :      

        Pour les grecs, Aphrodite est la déesse de la Beauté, de l'Amour, du Plaisir et de la Procréation. Son nom proviendrait du fait qu’elle soit née de l'écume des flots (aphros = écume) après la mutilation d'Ouranos par Cronos. Plus tard, Zeus lui aurait fait cadeau d’une ceinture magique (cestus) brodée d’or, capable de susciter le désir instantanément.

          Pour les Romains, Aphrodite fut assimilée à Vénus. Pour eux, elle était la mère de Enée, qui a survécu à la chute de Troie et a fui en Italie. Il est le fondateur mythique de Lavinium à l'origine de Rome, puis de sa monarchie (- 753 à - 509 av notre ère).


Mythologie Egyptienne :

 

          Les Égyptiens auraient eu deux noms pour la planète Vénus : Douaou, dans son rôle d'étoile du matin ; Bonou, dans celui d'étoile du soir.

Ils auraient également associé la planète Vénus à la déesse Hathor, mère des dieux, déesse de l'Amour, la Beauté, la Maternité, la Musique et de la Joie

 


 

Mythologie Indoue :

 

          Vénus est connu sous le nom de Shukra, dieu de la mythologie hindoue.

Sukra, signifiant blanc en sanskrit, est le symbole de l’amour, du mariage, de la luxure et de la passion. Il est l’un des fils de Bhrigu, un des sept rishis (les sept sages) immortalisés dans le ciel sous la forme de la constellation de la Grande Ourse.

          Bhrigu est Alkaïd, l’étoile du bout de la queue de la « casserole »


Mythologie Mésopotamienne :

 

        Ishtar est une déesse mésopotamienne vénérée chez les Akkadiens, Babyloniens et Assyriens. Elle correspond à la déesse de la mythologie sumérienne Inanna avec qui elle est confondue, une même déesse se trouvant manifestement derrière ces deux noms.

       C’est la fille de Sin, la lune et la sœur de Shamash, le soleil. Malgré sa nature guerrière, elle est une déesse de l’Amour et de la compassion.

    Elle est aussi représentée par une étoile à huit branches (pentagramme) faisant référence aux phases de Vénus sur un cycle de 8 ans en tant qu’étoile du matin et du soir.


 

Mythologie Mézo-Amérindienne :

 

          Pour les Aztèques, elle est Quetzalcóalt (le serpent à plumes, quetzal signifiant « oiseau » et cóatl, « serpent »), un des 4 dieux créateurs, le dieu de l’Etoile du Matin et du Soir. En tant que dieu, il présidait aux cycles du temps, au climat pour la culture du maïs (en tant que divinité des vents d'été) ainsi qu'à l'aube et au crépuscule.

          Pour les Incas, c’était Kukulcan, dieu de la résurrection et de la réincarnation, il joue un rôle identique à Quetzalcóatl. Les Mayas, qu’en à eux, appelait le planète Vénus, Ch’aska, page du dieu Soleil qui tantôt le précède de peu ou le suit.


Mythologie arabe

 

          A la Mecque, avant l’Islam, la tribu des Quraïch adorait Hubal, identifié au dieu Baal, le dieu-père d’une triade de divinités féminines : al-Lâl, al-‘Ouzza et Manât. Ils citaient leurs noms au cours de leurs tournées autour du Ka’ba (le cube).

          La déesse Al-Ouzzâ restera célèbre dans la région syro-palestinienne, où on l'identifiera à la planète Vénus.

 


L'étoile du berger

         Dans la culture populaire, la planète Vénus est surnommée l’« étoile du berger » car elle peut être facilement visible dans le ciel du matin (à l'est), avant l'aurore, ou dans le ciel du soir (à l'ouest), après le crépuscule.

          Au XXe siècle, le terme « étoile » est bien évidemment impropre car il s'agit d'une planète, mais pour les Anciens, elle faisait partie des cinq astres (Vénus, Mars, Jupiter, Lune, Soleil) dits « errants » (grec ancien planêtês « errantes).

          On lui attribua ce nom car les gardiens de troupeaux dans les temps anciens en tenaient compte pour aller dans les pâturages ou en revenir.

Chez les Dogons (Mali, Afrique de l’ouest), elle était appelée Enegirim, « astre des chevriers ».

2019 une année anniversaire

 

Vendredi 12 juillet 2019

À l’occasion des 50 ans du premier pas sur la lune, participez au grand événement : On the Moon Again. Si vous n'êtes à Briançon, consulter le site dédié : https://www.onthemoonagain.org/

Si vous êtes à Briançon ou dans la région : A l’initiative d’Odyssée Stellaire en partenariat avec le cinéma Cosmo, rejoignez nous à partir de 17h30 et jusqu’à 23h30.

A partir de 17h30 :

En accès libre, hall du cinéma Cosmo pour admirer la lune gonflable de 3 m de diamètre, avec lumière LED pour être aussi belle de nuit comme de jour, accompagnée d'une exposition originale sur la Lune (origine, phases, éclipses, marées, conquête, etc …). Christian Aubert

A 18h et 20h50 :
Cinéma Cosmo : Projection du film « First Man », le premier homme sur la lune, en son immersif dolby Atmos dans la grande salle. Payant.

A partir de 20h30 :

A proximité du Cinéma Cosmo, gratuit et en extérieur pour observation de la Lune avec un télescope 200 mm   

Joel Poncet.   NB : Cette animation étant "météo-dépendante", elle sera annulée en cas de ciel couvert.

 


Agenda de l'été 2019                                  L'évènement de l'été

         Le 21 juillet 2019 marque les 50 ans du premier pas de l’Homme sur la Lune. Une occasion de revenir sur l’extraordinaire voyage de la mission Apollo 11, un pari fou remporté haut la main par Neil Armstrong, Michael Collins et Buzz Aldrin.

          La première personne à avoir contribué au premier pas de l’Homme sur la Lune est sans nul doute le 35e président des États-Unis John Fitzgerald Kennedy. Le 25 mai 1961, quelques mois à peine après son entrée en fonction, il lance le programme spatial Apollo.

Apollo constitue un défi technique et organisationnel sans précédent. Il se compose de trois éléments principaux : les lanceurs Saturn, le module de commande et de service (CSM) et le module lunaire (LEM ou LM).

         Du premier vol spatial habité américain : Alan Shepard à bord de Mercury 3 le 5 mai 1961, il a fallu être bien courageux, ou un peu fou, pour se lancer dans l’aventure Apollo. Après les missions Apollo 1a, 2 et 3 en 1966, la première mission habitée Apollo 1 connut une fin dramatique. Un court-circuit déclencha en effet un incendie du module de commande lors d’une répétition – au sol ! – en conditions réelles le 27 janvier 1967. L’incident provoqua la mort des astronautes Virgil Grissom, Edward White et Roger Chaffee.

        De novembre 1967 à avril 1968, les missions Apollo 4, 5 et 6 sans équipage ont ensuite permis de renforcer la sécurité en effectuant des tests lanceurs. Puis, en octobre 1968, Apollo 7 devient la première mission américaine à envoyer une équipe de trois hommes dans l’espace et à diffuser des images pour la télévision.


               Seconde mission habitée, Apollo 8 somme plusieurs premières et entre autres : sortie de l’orbite terrestre par des hommes, mise en orbite autour d’un autre astre que la Terre, vision directe par l’Homme de la Terre dans sa globalité ... Son importance est aujourd’hui masquée par le succès, six mois plus tard, d’Apollo 11.

Les vols habités Apollo 9 en orbite terrestre basse, puis Apollo 10, qui s’approcha à seulement 15 kilomètres de la Lune, ont servi de tests finaux pour Saturn V, le CSM et le LEM. Le 16 juillet 1969, c’est le grand jour. Armstrong, Aldrin et Collins s’apprêtent à décoller pour la mission qui va marquer l’histoire…

Après trois jours de voyage, le vaisseau spatial d’Apollo 11 se place en orbite autour de la Lune, effectue 13 révolutions, puis le LEM se sépare du module de commande et de service et entame sa descente vers le sol lunaire. Enfin, le module lunaire se pose dans la mer de la Tranquillité le dimanche 20 juillet 1969 à 20h17.

Finalement, le 21 juillet 1969 à 2h56, Neil Armstrong pose son pied gauche sur la surface lunaire…

“C’est un petit pas pour l’Homme, mais un bon de géant pour l’Humanité“, partage Neil Armstrong en foulant pour la première fois le sol lunaire.

 


Les rendez-vous de l'hiver 2019

Tout au long de l'hiver, soirées privatives possibles sur demande : familles, amis, structures d’accueil, etc …

 

Les plages possibles d'intervention (en fonction des lunaisons) sont les suivantes :

Du 29 décembre 2018 au 11 janvier 2019 - Du 25 janvier au 10 février 2019 - Du 22 février au 11 mars 2019 - Du 23 mars au 10 avril 2019

et du 21 avril au 09 mai 2019.

Agenda de mars 2019

Les rendez-vous du printemps à Briançon

 

Mardi 26 mars 2019 - Mardi 02 avril 2019 et Mardi 09 avril 2019

21h15 à 22h15 : Balade Astro-Mythologique accompagnée par Odyssée Stellaire. A l’aide d’un pointeur laser, découverte du ciel nocturne, de ses mythes et légendes. Prévoir vêtements chauds et lampe de poche.

RDV : devant la Poste, parking Champ de Mars. Parking gratuit. Animation offerte.

NB : Si mauvaises conditions d’observation, l’animation sera annulée.

Contact : Christian : 06 75 04 38 63 - www.odyssee-stellaire.fr

 

Changement d'heure : Dans la nuit de samedi 30 mars 2019 sur dimanche 31 mars 2019.

Il sera 3h à 2h du matin (une heure de sommeil en moins).

Au matin des mercredi 27, jeudi 28 et vendredi 29 mars, la Lune croise à nouveau dans le ciel les deux plus grosses planètes de notre Système solaire. Il va falloir ce lever tôt !!!

Position de la Lune par rapport à Jupiter et Saturne le 27, 28 et 29 mars 2019 à 6h (heure de Paris). Source : stelvision.com

Le changement d'heure sera-t-il aboli en octobre 2019 en Europe ?

La Commission Européenne a lancé une consultation l'été dernier. Plus de quatre millions de personnes ont répondu, et 84 % des Européens interrogés se sont prononcés pour la fin du changement d’heure. Parmi les 84% qui ont choisi la fin du système actuel, 56 % des citoyens étaient plutôt favorables à l’heure d’été, et 36 % à l’heure d’hiver. Seuls les Grecs et les Chypriotes veulent garder le système actuel.

Que va faire la France ? Lors de la consultation européenne, les Français ont voté pour l'arrêt du changement d'heure. Ils étaient 52 % à préférer l’heure d’été, 38 % l’heure d’hiver et 10 % étaient sans opinion. A suivre …

Agenda de février 2019

5 février : Le nouvel an Chinois

 

Le Nouvel an chinois, coréen ou encore vietnamien (fête du Têt) 2019, également appelé Nouvel an Lunaire est tombé cette année le 5 février 2019. Il s’agit d’un calendrier luni-solaire, dans lequel chaque mois commence par une nouvelle lune. Le Nouvel An chinois a toujours lieu la deuxième nouvelle lune de notre calendrier grégorien. Il dure 15 jours et s’achève par la fête des lanternes. Cette l'année est celle du Cochon de Terre.

Le but du Nouvel An chinois est de chasser les mauvais esprits et de partir sur une nouvelle année heureuse et prospère.

La sonde Chang’e 4, nommée après la déesse de la Lune dans la mythologie chinoise, s’est posé ce 3 janvier sur la face cachée de la Lune : une première mondiale. Tout savoir sur Chang’e et la mythologie chinoise dans la rubrique « Mythologie du monde ».

 

 

En février, le grand G de l’hiver se trouve au-dessus de l’horizon sud aux alentours de 22h.

 

Durant l’hiver, la première partie de nuit permet de voir passer au-dessus de l’horizon sud un bel ensemble d’étoiles brillantes appartenant à différentes constellations. Elles sont au nombre de neuf étoiles* et leur disposition fait penser à la lettre G.

*de la constellation du Taureau à la constellation d'Orion : Aldébaran (0,87) - Capella (0,08) - Castor (1,98) - Polux (1,16) - Procyon (0,40) - Sirius (-1,46, la plus brillante) - Rigel (0,12) - Bellatrix (1,64) - Beltegeuse (0,4 à 0,9).

Toujours friands de points de repère faciles à mémoriser, les astronomes ont nommé cette formation le grand G de l’hiver. Cette lettre céleste n’a pas d’existence officielle : il s’agit d’un astérisme, c’est-à-dire un ensemble d’étoiles qui forment une figure remarquable.

Le Gand G de l’hiver s'inscrit dans six constellations "hivernales" : Orion, le Grand Chien, le Petit Chien, les Gémeaux, le Cocher et le Taureau.

 

Source : stelvision.com

Agenda de janvier 2019

 

L'éclipse totale de lune du 21 janvier 2019 se produit au dessus de l'horizon ouest en Europe de l'ouest et en Afrique du nord. Cette représentation figure ce qui sera visible vers 6h en France métropolitaine.

L'éclipse dans son intégralité dure cinq heures et douze minutes. A noter qu'en France, en Belgique et au Maroc, la fin du phénomène, c'est à dire la sortie de la pénombre, se produit à peu près au même moment que le coucher de lune.

L'entrée dans la pénombre commence à 3h36 (heure de Paris) et l'entrée dans l'ombre à 4h34.

La totalité débute à 5h41 et se termine à 6h43. La sortie complète de l'ombre a lieu à 7h51 et la sortie de la pénombre marquant la fin de l'éclipse aura lieu à 8h48 (heures locales).

Pour Paris, notez aussi que la lune se couche à 8h44 (Briançon à 8h15 ) et le soleil se lève à 8h36 (Briançon à 8h04). Suivre la sortie de la pénombre sera donc difficile en raison du jour levant.

La prochaine éclipse totale aura lieu en mai 2022.                                                                          Source : stelvision.com

 

 

C'est un étonnant spectacle qu'il est possible d'admirer chaque matin entre 7h et 8h durant la seconde quinzaine de janvier, au sud-est : l'étincelante planète Vénus et la brillante Jupiter.

Représentation ci-contre le 22 janvier au matin, les deux planètes sont au plus près.

A partir du 24 janvier, Vénus s'éloigne progressivement de Jupiter en direction de l'horizon.

 

Source : stelvision.com